L'Université brule-t-elle ? DEBAT JEUDI II FEVRIER 20H à LA SORBONNE

Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin

Je participerai Jeudi 20H à un débat, organisé à L’initiative du bureau des étudiants de l’université Paris VI et de l’association culturelle, Theoria-Praxis. Il s’agit d’analyser les mouvements étudiants et universitaires en France et en Europe.

Les organisateurs présentent leur initiative:

"Une vague de contestation se lève depuis 1999 contre les réformes universitaires proposées par les gouvernements européens successifs. La grogne des facs françaises de l’an passé a marqué les esprits par son intensité et sa durée. Depuis le mois de novembre 2009, le mouvement universitaire s’est amplifié en touchant de nombreux pays d’Europe.

L’Autriche, fer de lance de la remobilisation, a adopté le slogan « Uni Brennt » (« la fac brûle »), qui fut rapidement repris et scandé par les étudiants européens. Aujourd’hui la communauté universitaire européenne se regroupe autour de valeurs qui prônent la «non-marchandisation du savoir ».

L’association Theoria-Praxis, bureau des étudiants de l’université Paris IV – Sorbonne, propose un grand débat européen, Amphithéâtre Richelieu, le 11 février 2010, pour proposer une nouvelle réflexion sur les raisons de cette mobilisation, sur les faits qui ont amené les étudiants à refuser une « Université à vendre ». "

 Débat  puis interventions culturelles…..


" En tant qu’association culturelle et non partisane, Theoria-Praxis a voulu créer une table ronde, en invitant des intervenants étudiants venant de toute l’Europe. Afin d’appuyer cet échange, Marie-Noëlle Lienemann (ancienne vice-présidente du Parlement Européen), Etienne Boisserie (président de Sauvons l’Université), Julien Bayou de Jeudi Noir, Vincent Lepinay du REFEDD, Maxime Lonlas (vice-président étudiant de Paris-IV Sorbonne), tenteront de réfléchir sur l’impact de mots tels que l’excellence, le mérite, l’employabilité et la compétitivité, et sur la politique d’harmonisation universitaire européenne actuelle.
Afin d’apporter à ce débat une touche culturelle qui nous est chère, plusieurs artistes apportent leur soutien à ce projet, en le ponctuant de leurs interventions musicales ou scéniques : « Les Autres », de jeunes slameurs, la troupe de théâtre de « l’Université du Bazart », la chanteuse Lætitia A’Zou, et le groupe de musique « La Rue Kétanou ».TELECOPIE

LES DERNIERS ARTICLES