J’ai réagi ce mardi 16 mai 2017 à la nomination par le président de la République d’un premier ministre issu de la droite.
Aucune réelle surprise tant les programmes d’Alain Juppé et d’Emmanuel Macron étaient convergents, le président de la République allant d’allant parfois plus loin dans les propositions de régression sociale.
Face à un gouvernement clairement orienté à droite, il est temps de réagir. Les ralliements opportunistes de quelques responsables et candidats socialistes à la « majorité présidentielle » sont indécents et dangereux pour la confiance des Français dans la politique.
La gauche doit réagir, se rassembler pour être forte, et pour cela le PS doit absolument être autonome et porter ses propres propositions pour les défendre ensuite au Parlement et empêcher une nouvelle dérive libérale de notre pays.