J’ai écrit ce matin à Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, pour exiger que la gynécologie médicale continue d’être reconnue comme une spécialité médicale à part entière. Elle avait disparu des formations universitaires de 1986 à 2003 et la restauration d’un diplôme d’études spécialisées de gynécologie médicale n’a été obtenue que par la mobilisations des associations et des parlementaires.

L’absence d’un Conseil national de professionnel (CNP) autonome pour la gynécologie médicale, pourtant rendu obligatoire par le décret du 9 janvier 2019, pourrait remettre en cause les progrès réalisés depuis 2003. Nous avons frôlé la catastrophe, ne permettons pas de tout gâcher et de mettre en péril la santé des Femmes.